Description
L’auteure, Nancy Turner Banks, est diplomée de la Havard Medical School. Elle est formée en chirurgie, obstétrique et gynécologie et détient aussi une maîtrise de gestion en sciences financières. C’est ce qui rend cet ouvrage particulièrement intéressant. Le lecteur se familiarise ainsi non seulement avec les tractations immorales de celles et ceux qui tirent les ficelles en arrière plan de la société, par exemple les manigances du Groupe Bilderberg en 1973 pour faire passer le choc pétrolier, mais découvre aussi les ravages de produits toxiques mis délibérément en circulation pour endommager, voire détruire, certaines aptitudes pour que nous ne développions pas nos facultés psychiques. Par exemple les effets du fluorure sur la glande pinéale et le septième chakra.
Cet ouvrage contient un index fourni d’une cinquantaine de pages, bien pratique pour retrouver certains textes. Ce livre vient compléter la liste actuelle des ouvrages proposés sur ce site afin de permettre aux lecteurs de se faire un avis libre et avisé sur les choix à faire pour (re)prendre en main sa souveraineté et sa destinée.
« En fin de compte, dans ce monde de guerres non conventionnelles, d’économie de marché, d’éthique darwinienne, de mondialisation, de programmes de restructuration, et de contrôle de la population, les mots amour et gratitude sont absents. Dans la guerre de l’information les décisions éclairées sont remplacées par des agendas secrets. Pourtant chacun de nous possède individuellement le pouvoir de changer cette dynamique. Il s’agit uniquement d’un choix. La reconnaissance des mots et l’amour constituent les principes fondamentaux des lois de la nature et du phénomène de la vie.
Ce que la rédaction du présent ouvrage (qui fut une tâche parfois écrasante) m’a surtout appris est qu’il n’existait aucun système – politique, économique, médical ou religieux – qui n’ait été conçu comme une forme de contrôle des masses et un moyen de nous séparer tant de notre nature fondamentale que les uns des autres. Plus que tout, si nous voulons survivre en tant qu’espèce, nous ne pouvons plus être dominés par cette force destructrice. Nous avons le pouvoir de canaliser l’énergie de l’univers et de développer notre créativité au-delà de nos plus folles espérances. Si cela n’était pas la cas, les maîtres de l’univers n’auraient pas besoin de faire tant d’efforts pour nous écarter de cette connaissance. »
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