La Shungite – son histoire

La shungite ne manque pas d’air et d’histoires, il suffit de pianoter sur internet pour s’en rendre compte.

Son origine remonte à des temps immémorables, pensez donc, quelque deux milliards d’années ?! Elle apparaît vers le milieu de l’époque Archéozoïque ou Précambrienne – de 4 320 à 570 millions d’années – époque qui marque le début de la minéralisation de notre planète, la Terre.

Notre Terre, vieille déjà de 52 milliards d’années, commence donc à devenir visible. Je conseille ici la lecture du chapitre Histoire ésotérique de la Terre, de l’homme et de l’animal dans « L’Animal Intérieur » de Pierre Lassalle (disponible en ebook L’Animal Intérieur). Une synthèse remarquable en quarante pages sur les origines de la Terre, de l’animal, de l’homme … et de son Âme. Avis aux amateurs !

À l’époque Archéozoïque tout est en chaleur, en fusion, et la shungite se forme sans doute à partir de micro-organismes issus d’océans primaires. Elle passe progressivement de l’état liquide à l’état solide. Ce n’est pas à proprement parlé du charbon ou du pétrole, car ceux-ci apparaissent 500 millions d’années plus tard. Ce solide n’est ni un véritable carbone, ni un vrai minéral. D’ailleurs il n’est pas reconnu par l’Association internationale de minéralogie. Cette roche garde donc tout son mystère. Est-elle d’origine terrestre ? Est-elle d’origine météoritique ? Regina Martino, dans son livre « La Shungite, énergie de vie » apporte des éclaircissements. Je trouve son ouvrage simple et instructif, une bonne entrée en matière si j’ose dire.

Que doit-on retenir ?

La shungite est sans doute connue depuis longtemps par les habitants des abords du lac Onega, là où se trouvent les gisements. Mais elle n’est pas exploitée, son heure n’a pas sonnée.

Elle est en quelque sorte « découverte » après la Renaissance, époque qui marque le début de l’ère moderne et de l’émancipation de l’être humain face au monde spirituel.

Le premier à s’y intéresser est Pierre 1er de Russie (1672 – 1725) après que des ouvriers, empoisonnés à produire du cuivre, se seraient guéris en trois jours après avoir bu de l’eau s’écoulant sur un dépôt de shungite, appelé en ce temps-là « pierre d’ardoise ». Le tsar ordonne une étude sur cette eau et les hommes découvrent alors les propriétés étonnantes de l’eau de shungite pour soigner le scorbut, les maladies du foie ou encore la dysenterie fréquente dans ses armées. Lui et sa famille en expérimentent aussi les propriétés antiseptiques. Il fait construire des thermes, appelés « Eaux Martiales », à Konchezero, proche du lac Onega où il s’y rend fréquemment. Il ordonne aussi par décret à chacun de ses soldats d’avoir sur lui un morceau de shungite, ainsi que dans la gourde d’eau en guise de désinfectant. C’était un convaincu.

Suite à cet épisode, le temps et les conflits passant par-là, la pierre d’ardoise retombe dans l’oubli et l’anonymat.

Il faut attendre l’an 1960 pour qu’elle ressorte progressivement de l’ombre. Nous sommes à l’aube de l’avènement de l’informatique et des télécommunications hautes fréquences !

L’Univers est sage et lance un appel. La pierre d’ardoise capte le message et tient à peu prêt ce langage.

Il est temps que l’être humain redécouvre et dévoile mes secrets. J’ai eu 2,2 milliards d’années pour me bonifier, je suis prête. Mon heure est venue, les hommes, dans leur course matérialiste irraisonnée, vont avoir besoin de moi.

Le feu passe au vert et tout va très vite.

1960 – Les chercheurs russes créent de nouveaux protocoles pour mettre en évidence les propriétés de la shungite. Grigory Andrievsky avec sa cinquantaine de publications en est un des piliers.

1970 – Eiji Osawa, chercheur japonais, émet l’hypothèse qu’un carbone complet en forme de ballon de football pourrait exister.

1985 – Harold Kroto, Robert Curl et Richard Smalley découvrent le footballène d’Osawa, le C60 baptisé fullerène, nommé ainsi d’après Richard Buckminster Fuller, créateur du concept architectural de dôme géodésique et architecte du pavillon des États-Unis à l’exposition universelle de Montréal en 1967. Les trois chercheurs recevront le prix Nobel de chimie en 1996 pour leur découverte.

1992 – Peter Buseck du département de géologie et de chimie d’Arizona State est le premier à trouver des fullerènes à l’état naturel dans un échantillon de shungite de type I ayant un taux de carbone entre 75% et 98%.

1995 – Ebbesen suggère que les fullerènes trouvés par Buseck ont été générés artificiellement par le laser utilisé pour mettre en évidence des fullerènes dans le carbone. L’argument est contesté par Busek et Tsipursky la même année.

1998 – G. Parthasarathy confirme avoir trouvé des fullerènes dans de la shungite de type I extraite des mines proche de Kondopoga à 60 km au sud-ouest de Shunga, le village qui a donné son nom à la shungite.

2000 – Renikov et Polekhovskii mesurent une faible concentration de fullerènes dans des échantillons de type I.

2003 – Mossman ne trouvent pas de fullerènes dans la shungite provenant de différents endroits autour du lac Onega.

2006 – Alekseev conduit une étude sur le mécanisme de formation des fullerènes dans la shungite. Il en trouve dans la shungite de type I et III. La même année des chercheurs de tous pays se réunissent à Petrozavodsk pour un colloque entièrement dédié à la shungite.

2013 – Oleg Mosin et Ignat Ignatov confirment le faible pourcentage de fullerènes – 0,001% – trouvé dans la shungite extraite de la mine de Zazhoginsky contenant 30% de carbone et décrivent précisément les applications et les propriétés de la roche.

Comme vous pouvez le voir il y a rebondissements et matière à controverse. Il faudra sans doute encore un peu de temps et un cœur vaillant aux scientifiques pour qu’ils arrivent à élucider les origines et les mystères de la pierre d’ardoise. La shungite et plus spécifiquement cette molécule, le fullerène, passionnent nombre de chimistes et de physiciens autour du globe.

La Shungite – ce que dit la science

crédit photo : Kalinin Yuri Klavdievitch, Doctorat en Sciences Techniques

Il est vrai qu’on nous pose de nombreuses questions sur la shungite. En général ce sont un peu les mêmes qui reviennent, mais pas seulement. Parfois il est aisé de donner une réponse juste, et parfois c’est plus compliqué. Pourquoi ?

Mais parce que les scientifiques eux-mêmes tâtonnent au sujet de la pierre ardoise. Ils se challengent entre eux, revoient leurs analyses plus en profondeur, changent de dispositifs d’étude.

Alors que dit la science au sujet de la shungite ?

Eh bien justement la réponse n’est pas simple. En effet savez-vous qu’il existe plus de 1 500 papiers scientifiques sur la shungite ? Et plus de 20 000 sur la fameuse molécule de carbone C60 qui donnerait à la shungite toutes ses vertus, à savoir le fullerène ?

Au lieu de vous ennuyer avec une longue synthèse barbante sur ce que dit la science nous allons vous donner les moyens d’y répondre par vous-même.Vous pourrez ainsi répondre aux questions :

  • La shungite est-elle vraiment une pierre miracle ou est-ce une arnaque ?
  • Est-elle dangereuse ?
  • Qu’elles sont ses vertus ?
  • D’où vient-elle ?
  • Les gisements sont-ils importants ?
  • Quelles types de shungite peut-on trouver ?
  • Y a-t-il des fullerènes dans la shungite ?
  • Si oui, combien ?
  • Est-elle radioactive ?
  • Absorbe-t-elle la radioactivité ?
  • Purifie-t-elle l’eau ?
  • Peut-on l’utiliser dans l’agriculture ?
  • etc.

Ces réponses vous les trouverez en parcourant les papiers scientifiques anglais de référence ci-dessous. Vous pouvez visualiser la première page de chaque article en cliquant sur l’icône PDF. Si un titre vous intéresse, vous pouvez en avoir l’aperçu et l’ajouter dans le panier. Lorsque vos choix sont fait vous pouvez passer commande gratuitement. La boutique vous enverra alors un courriel avec les liens de téléchargement des documents demandés. Merci de respecter les copyrights.

Voici la liste des articles scientifiques téléchargeables actuellement.

 

Fullerenes from the Geological Environment

Peter R. Buseck, Semeon J. Tsipursky, Robert Hettich

Science, 10 July 1992, vol. 257, p. 215–217

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Origins of Fullerenes in Rocks

T.W. Ebbesen, H. Hiura, J.W. Hedenquist, C.E.J. de Ronde, A. Andersen, M. Often, V.A. Melezhik

Science, 16 June 1995, vol. 268, p. 1634–1635

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Concerning fullerenes in shungite

Robert L. Hettich, Peter R. Buseck

Carbon, 1996, vol. 34, no. 5, p. 685–687

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Shungites: The C-Rich rocks of Karelia, Russia

P.R. Buseck, L.P. Galdobina, V.V. Kovalevski, N.N. Rozhkova, J.W. Vallet, A.Z. Zaidenberg

Journal of the mineralogical association of Canada, vol 35 December 1997

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Occurrence of natural fullerenes in low grade shungite from Karelia, Russia

G. Parthasarathy, R. Srinivasan, M. Vairamani K. Rravikumarn A.C. Kunwar

Geochimica et Cosmochimica Acta, vol. 62, no. 21/22, p. 3541–3544, 1998

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Amorphous Shungite Carbon: A natural medium for the formation of fullerenes

V. A. Reznikov, Yu. S. Polekhovskii

Technical Physics Letters, vol. 26, No. 8, 2000, p. 689–693

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Extraction of fullerenes from shungite carbon by water-containing solvents

N.N. Rozhkova, G. V. Andrievsky, L.I. Derevyanchenko, V.K. Klochkov, E. Shulyakovskaya

1st World conference on carbon « Eurocarbon 2000 », July 2000 Berlin

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Testing of fullerenes in geologic materials: Oklo carbonaceous substances, Karelian shungites, Sudbury Black Tuff

D. Mossman, G. Eigendorf, D. Tokaryk, F. Gauthier-Lafaye, K.D. Guckert, V. Melezhik, C.E.G. Farrow

Geology, 2003, vol. 31, p. 255–258

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A giant Palaeoproterozoic deposit of shungite in NW Russia: genesis and practical applications

V.A. Melezhika, M.M. Filippov, A.E. Romashkin

Ore Geology Reviews 24, 2004, p. 135–154

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A Possible Mechanism of Formation of Fullerene Nanoparticles in Shungites

N.I. Alekseev, D.V. Afanas’ev, B.O. Bodyagin, A.K. Sirotkin, N.A. Charykov, and O.V. Arapov

Russian Journal of Applied Chemistry, 2007, vol. 80, No. 1, pp. 139–146

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The Structure and composition of natural carbonaceous fullerene containing mineral shungite

O. Mosin, I. Ignatov

International Journal of Advanced Scientific and Technical Research, Issue 3 volume 6, Nov.–Dec. 2013

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Au sujet de la méditation

Peut-être qu’un jour vous vous êtes dit :

« Je veux méditer ! »

Et qu’en vous disant ça, des peurs soient montées et qu’une petite voix intérieure s’est fait entendre :

« Mais c’est trop compliqué, il faut être balaise pour méditer, c’est pas à la portée de tout le monde, d’ailleurs il y a plein de techniques de méditations, c’est quoi la bonne ? T’es sûr que tu veux faire ça ? Mais t’y penses pas, t’as pas le temps avec tout ce que tu fais déjà … »

Si on l’écoutait on ne ferait plus rien, non mais !

Cela dit, il n’est pas aisé de s’y retrouver dans les différents types de méditations proposées aujourd’hui, chacun y va de sa petite affaire. Comment y voir clair ? Qu’est-ce que la méditation, quel est le type de méditation qui me convient, etc.

Voyons un peu.

Le mot méditation vient de « meditacion »action de réfléchir profondément et de « meditatiun » contemplation.

La contemplation est en relation avec le religieux, dans le sens « religare »se relier (je ne parle pas ici de religion), c’est un acte choisi, une profonde application de l’esprit à vouloir se relier au monde spirituel afin d’y être à la fois absorbé tout en restant conscient face au divin.

Donc le but de toute méditation est de créer un lien conscient avec le divin. Sa pratique renforce l’esprit, la partie qui dit « Je ». C’est profondément humain. On se trouve ici au-delà des croyances, des religions ou encore de l’athéisme.

Pierre Lassalle écrivain et créateur de l’Intériorisation, une méditation occidentale, va même plus loin. Il dit qu’aujourd’hui rester assis sur son coussin pour trouver la paix n’est plus suffisant. Le bien conquis en méditation doit devenir création et profiter à autrui. Voici un passage qui illustre cela dans son livre La Vie Spirituelle – Lumière sur le sentier spirituel occidental.

« Ainsi, la méditation, que j’appelle « créatrice », trouve sa place dans un art de vivre où l’individu est relié au monde spirituel, d’une part, et au monde extérieur, d’autre part, afin d’harmoniser son existence et de contribuer à l’amélioration des relations humaines. »

À proprement parlé, la méditation et plus particulièrement la méditation occidentale n’ont donc rien à voir avec :

  • Faire le vide en soi, puisqu’au contraire on s’exerce à se concentrer, à activer sa pensée par le questionnement. L’individualité se déploie.
  • Le bien-être, la santé, trouver la paix, se déstresser, se faire plaisir, se sentir mieux dans sa peau, le moment présent, c’est-à-dire tout ce qui a attrait à la personnalité qui est tournée vers les émotions, le corps physique et les préoccupations matérielles.

Bien sûr, cela n’empêche pas au méditant d’en retirer des bienfaits dans sa vie, mais ce n’est pas le but recherché.

Des méditations, il en existe des centaines, beaucoup d’écoles en enseignent, mais à y regarder de plus près, quasi toutes sont tournées vers le bonheur de la personnalité, incroyable non ?!

D’où vient cette confusion entretenue par l’utilisation abusive du mot méditation, pour des activités qui se détournent du sens étymologique initial ? Des termes comme relaxation, lâcher prise ou encore dé-cristallisation émotionnelle seraient plus appropriés … et plus honnêtes.

Ces techniques puisent leur source majoritairement dans le bouddhisme. Or le Bouddha Gautama vivait 600 ans avant Jésus-Christ et à l’époque il s’agissait pour l’être humain de maîtriser son corps, ses désirs, il allait vers l’autonomie. Tout cela le préparait à devenir une individualité avec une pensée propre afin de gouter à la liberté. Aujourd’hui, quelque 2 600 ans après, le Christ étant passé par là, nous avons acquis cette individualité, et avec elle une bribe de liberté. L’Homme doit maintenant librement se retourner vers le divin pour co-créer avec lui un monde nouveau afin que notre Terre devienne un Soleil. Eh oui, nous évoluons.

Donc le mouvement s’est inversé ! Il ne s’agit plus de se complaire dans la matière et de descendre encore, mais d’en s’extraire tout en gardant les deux pieds bien sur Terre !

Les techniques méditatives de dé-cristallisation, de relaxation, de concentration, de lâcher prise, sont bénéfiques, car elles permettent de refaire circuler la vie en soi. Elles ont donc leur place.

J’ai pratiqué des méditations Osho, bouddhistes, et autres assises. Toutes ces techniques avaient en commun qu’elles se pratiquaient dans le corps physique. J’ai pu vérifier qu’elles mettaient l’accent sur le côté matériel des choses.

Je pratique aujourd’hui l’Intériorisation, une méditation occidentale qui se vit dans le corps éthérique, le corps énergétique ou vital. Celle-ci met l’accent sur le côté spirituel et vise à associer matériel et spirituel de manière harmonieuse.

Quand on connaît les deux façons de méditer il est facile de voir la différence, elle est nette. Une débutante en méditation m’en témoignait récemment. L’Intériorisation nous sort de l’ordinaire et nous fait entrer dans l’extra-ordinaire ce qui donne chaud au cœur car on découvre notre vrai chez-Soi.

« C’est trop bien ! » me témoignait-elle.

Le fruit de la méditation occidentale est une créativité qui profite à l’humanité. Elle est la solution aux problèmes humains et sociétaux. Elle prépare à la Fraternité.

Alors pourquoi la torpiller en la noyant dans la masse ?

En effet, on peut aisément constater que tout est fait dans la société actuelle pour « éclipser » la véritable méditation. Par exemple, il existe une école occidentale de méditation qui n’a rien à voir avec la méditation occidentale ?!

Il faut oser quand même.

La technique enseignée puise sa source dans le bouddhisme. Euh, occidental avez-vous dit ?

Cette méditation est connue aussi sous les appellations « mindfulness meditation » ou « méditation de pleine conscience ». Son créateur est Jon Kabat-Zinn, un professeur de médecine qui sort du MIT (Massachusetts Institute of Technology). Son but ? Aider les gens à se déstresser et il y en a, c’est sûr. Donc la méthode est intéressante à ce niveau-là, mais ce n’est pas de la méditation à proprement parlé, et encore moins de la méditation occidentale !

Et quand je lis les propos d’un professeur « émérite » et enseignant en Sciences de l’éducation qui écrit à l’occasion de la sortie d’un livre de Patrice Midal – le fondateur d’une école occidentale de méditation – début 2014.

« Ce livre est sans aucun doute, à mes yeux, l’un des plus pertinents pour comprendre la nature singulière de la méditation laïque tant recherchée par les Occidentaux. »

Je me révolte, car on essaie de nous faire avaler que l’Homme est en quête d’une méditation laïque, c’est-à-dire déconnectée du divin, et on qualifie cela de méditation occidentale, c’est tout le contraire de ce que devrait apporter la méditation !?

Quelle tromperie !!

C’est une vilaine manipulation comme on en voit partout autour de nous, dans le seul but d’enchaîner l’être humain à la « conso-matrice ». Ce qu’il y a de plus beau et de plus noble, la capacité à vouloir se relier consciemment et librement au monde spirituel est pollué et occulté par ces dérives abusives et mensongères. La matrice sait qu’il y a une demande et elle s’active à « capter le marché » pour remplacer ce qui est vivant et évolutif par ce qui est mort et involutif … afin de garder tous ses esclaves qui la nourrissent.

Mais nous ne sommes pas obligés de nous laisser faire, n’est-ce pas ?

Nombreux sont celles et ceux qui ne veulent plus de cette société aliénante génératrice de tant de destruction. Ils aspirent à un monde nouveau, plus humain, plus spirituel et réaliste. L’homme aspire à se reconnecter à sa Source, au divin car il voit bien qu’il est dans une voie de garage et la raison de son cœur lui montre le chemin. Même s’il doute, il cherche quand même et il a raison de persévérer car la méditation est la voie royale vers la Liberté et l’Amour, le levier par lequel tout devient possible.

Vous voulez connaître la vérité ? Alors je ne peux que vous conseiller d’expérimenter la méditation occidentale live avec les créateurs de l’Intériorisation. Après, vous saurez !

Je ne transmets pas la technique, mais organise régulièrement des soirées pour faire découvrir cette méditation à partir de CDs enregistrés par ce créateur, Pierre Lassalle.

Si vous lisez cet article c’est que l’Aventure vous tend la main.

Apprenez à la saisir

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